Faire face à l’annonce de la séropositivité : un film avec Ikambere
L’épidémie de vih parmi les personnes nées en Afrique subsaharienne se caractérise par un mode de transmission très majoritairement hétérosexuel. Dans plus de six cas sur dix, les personnes diagnostiquées sont des femmes. Souvent, l’infection de ces migrant.e.s a lieu au cours des premiers mois ou années suivant l’arrivée en France.
Mise en lumière des effets du tasP
La vision du sida comme maladie effroyable persiste. Elle contribue à la sérophobie qui stigmatise et exclut. La réalité est que dans les pays où l’accès aux traitements contre le VIH est possible, les décès dus au Sida ont fortement diminué. La prise en charge thérapeutique précoce permet à une personne séropositive de vivre à peu près aussi longtemps qu’une personne non contaminée, avec la meilleure qualité de vie possible.